L'occasion de constater combien le remplissage des murs se tasse (il a baissé de 20 bons centimètres, soit environ 10%) ; le bois des poteaux se grise peu à peu et s'écartent sous la pression du remplissage là où nous ne les avions pas reliés entre eux ; le cadenas qui affublait la porte évitant l'accès (pour des raisons de responsabilité) a été forcé, des traces de squat… et aucune dégradation ; la passerelle tient le coup ; mais surtout-surtout, les murs et le sol commencent sérieusement à se garnir spontanément d'une palette intéressante de plantes indigènes.
Donc nous sommes bienheureux de constater que les personnes, les plantes et certains petits animaux s'y plaisent…
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